vendredi 29 janvier 2016

Nouvelles réglementation législatives pour les commerçants en ligne

Nous vous informons que des modifications législatives, à propos du commerce en ligne, ont eu lieu en janvier 2016. En date du 09/01/2016 le Règlement (UE) N° 524/2013 relatif au « Règlement en ligne des litiges de consommation » entre en vigueur.42-63885268-1024x683
Le règlement nommé ODR (Online Dispute Resolution) vise à introduire une procédure extrajudiciaire indépendante, impartiale, transparente, efficace, rapide et équitable pour le règlement des différends découlant de la vente en ligne de biens ou de services entre les différents pays de l’UE.
Cet objectif devrait être atteint grâce à la création d’une plateforme de RLL (la plate-forme de règlement en ligne des litiges) au niveau de l’UE et les règles de coopération avec les organismes nationaux chargés de la résolution des litiges.
En tant que commerçant, vous êtes obligé, à partir du 9 janvier, d’informer vos clients de l’existence ...
de cette plateforme en ligne de résolution des litiges. Vous trouverez les informations à ce sujet dans le paragraphe 1 de l’article 14 de l’ODR-VO téléchargeable au format PDF à l’adresse suivante : http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32013R0524.
En outre, vous devez mettre sur votre site un lien vers la plateforme RLL dont l’adresse URL est la suivante : http://ec.europa.eu/consumers/odr/.
Comme vous pourrez également le lire sur le site de la plateforme RLL, celle-ci devrait seulement être mise en service en février 2016, mais vous avez le devoir d’y faire référence dès le 9 janvier en vous assurant que celle-ci soit accessible facilement aux consommateurs.

Quoi de neuf dans Joomla 3.4.7 ?

Joomla! 3.4.7 est disponible ! Mise à jour de sécurité critique

Joomla! 3.4.7 est disponible immédiatement. Cette mise à jour de sécurité pour la série 3.x de Joomla! corrige une vulnérabilité de sécurité critique et une vulnérabilité de plus faible niveau. Nous vous conseillons de mettre à jour votre site immédiatement.
securite

Quoi de neuf dans Joomla 3.4.7 ? 

La Joomla Security Strike Team a suivi la vulnérabilité de sécurité critique patchée la semaine dernière. Depuis la récente mise à jour, il est apparu que la cause est un bogue de PHP lui-même. Celui-ci a été corrigé par PHP en septembre 2015 avec les versions de PHP 4.5.45, 5.5.29, 5.6.13 (nota, il a été corrigé dans toutes les versions de PHP 7 et a été rétroportée dans certaines versions spécifiques Linux LTS de PHP 5.3).

Les seuls sites Joomla affectés par ce bug sont ceux qui sont hébergés sur des versions vulnérables de PHP. Nous sommes conscients que tous les hébergeurs ne mettent pas forcément à jour leurs installations PHP aussi nous publions cette mise à jour de Joomla qui contient une protection supplémentaire pour les utilisateurs. Nous recommandons à tous les utilisateurs d'appliquer cette mise à jour dès que possible.

Effectuer une mise à jour depuis Joomla 3.4.6 vers la nouvelle version est très simple, il vous suffit de vous connecter à l'administration de votre site et de cliquer sur le bouton de mise à jour. L'avertissement de mise à jour préavis sera clairement visible dès que la connexion d'un administrateur.

mardi 27 août 2013

E-commerce : attention aux mauvaises pratiques !

Les professionnels du e-commerce sont aujourd'hui invités par la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) à dénoncer les mauvaises pratiques de leurs concurrents. 

La DGCCRF a en effet présenté en juin dernier son Guide du vendeur e-commerce à destination des entreprises qui choisissent de créer un site marchand en ligne. Que contient ce guide ? Quels conseils sont prodigués aux professionnels ? Spécialiste de la certification de boutiques en ligne, Trusted Shops revient sur cet outil et son contenu.

« L’initiative de la DGCCRF et l’encouragement à la dénonciation des mauvaises pratiques, démontrent que les problématiques juridiques et la conformité légale d’une boutique en ligne ont toute leur importance dans le cadre du management de celle-ci » explique Glynnis Makoundou, experte juridique et audit chez Trusted Shops.

Le guide du vendeur e-commerce
 a pour objectif d’apporter aux entreprises visées des informations utiles à la mise en place d’une activité en ligne, du démarrage de celle-ci à son développement. Il est composé d’une partie sur les relations entre professionnels et d’une partie sur les relations avec les consommateurs.

D’une part, il existe certaines règles spécifiques au commerce électronique que le commerçant qui démarre une telle activité doit connaître, explique le guide. D’autre part, certaines pratiques du commerce traditionnel se retrouvent sur la toile. Il s’agit par exemple de l’apparition de nouveaux intermédiaires dans les relations entre les PME et certains prestataires. Pour des PME mal informées, il peut être difficile de gérer les relations avec ces nouveaux intervenants.

Tous les conseils prodigués pour créer un site marchand et le rendre conforme aux lois sont clairement exposés, estime Trusted Shop. Des zooms sont également établis pour détailler des sujets sensibles ou complexes (délai de livraison, le droit de rétractation, etc.). A la fin du guide sont exposées les voies de recours pour les professionnels qui s’estiment victime de pratiques abusives d’un concurrent.


Comment dénoncer les abus ?


Dans un premier temps, les e-commerçants qui s'estiment victimes de mauvaises pratiques d'un concurrent peuvent informer les services de l’État de ces pratiques. Parallèlement, ils peuvent exercer des recours judiciaires.

Les e-marchands qui s’estiment «victimes des mauvaises pratiques d’un concurrent ou d’un contractant […] ont les moyens d’agir pour dénoncer ces pratiques, les faire sanctionner et y mettre fin », note Trusted Shop. Ainsi, les conseils mènent les professionnels à se référer en premier lieu aux services de l’Etat dans deux cas distincts :

vendredi 2 août 2013

Salon eCommerce Paris 2013

du 24 au 26 septembre, Porte de Versailles



En 2013, le salon consacré au e-commerce et au cross-canal, célèbre sa 10ème édition. Aujourd’hui les frontières entre la distribution « traditionnelle » et le e-commerce n’existent plus. Les enseignes utilisent le web pour augmenter la fréquentation et les ventes en magasins, elles utilisent les bornes connectées ou des tablettes pour compléter la profondeur de leur offre en boutiques, le mobile pour des offres géolocalisées, etc…

C’est une véritable révolution pour les acteurs du e-commerce qui se sont battus jusqu’alors sur le prix dans un objectif de conquêtes de parts de marché et qui doivent aujourd’hui replacer le consommateur au cœur de leur stratégie dans un objectif d’optimisation de son expérience d’achat.

Rendez-vous fin septembre pour découvrir les solutions pour développer un e-commerce efficace, réussir le cross-canal et maximiser l’expérience clients.

Pour vous inscrire: http://www.ecommerceparis.com/Salon/Dossier/Inscription

vendredi 5 juillet 2013

Retour sur l'interview de Benjamin Teszner

« Prestashop compte près de 140 000 boutiques en ligne actives dans le monde »

Fondée en 2007, la start-up Prestashop, qui édite une solution e-commerce en open source, a récemment annoncé un nouveau partenariat avec l’hébergeur OVH. Les détails de cette nouvelle offre et des prochains axes de développement de l’éditeur de logiciels avec Benjamin Teszner, directeur général.



Quelle est la logique derrière votre récent partenariat avec OVH ?
Benjamin Teszner: « Ce partenariat vient coller à la mission première de Prestashop. Notre objectif est de simplifier la vie des e-commerçants. Lorsque vous utilisez Prestashop, vous devez héberger le logiciel. Une fonction qui peut être très simple pour certains mais un peu plus compliquée pour d’autres. Notre partenariat propose donc une offre d’hébergement pré-installée qu’on appelle ici « One click install ». Les utilisateurs ont ainsi le choix d’avoir recours à OVH pour l’hébergement de leur site, ou de se tourner vers un autre acteur. Le parcours sera toutefois simplifié pour la première option. Niveau prix, les offres proposées par OVH varient de 4,99 euros par mois à 59,99 euros. Nous avons par ailleurs fait le choix d’opter pour une offre VPS qui n’est pas une offre mutualisée et qui propose donc des performances plus élevées que sur un serveur partagé ».

Aujourd’hui quels sont les principaux indicateurs de Prestashop ?
Benjamin Teszner: « Aujourd’hui Prestashop compte près de 140 000 boutiques en ligne actives dans le monde. 22% de nos clients se situent en France et 78% résident donc à l’étranger. Pour répondre à cette internationalisation, notre solution est disponible en 56 langues.70 collaborateurs travaillent actuellement pour la société, dont 15 au Etats-Unis où nous avons récemment ouvert une filiale. Sur ce marché, Prestashop recense 10 000 boutiques en ligne. Pour l’exercice 2013, nous prévoyons une belle croissance de notre chiffre d’affaires, qui s’appuie sur un business model freemium. »

Quelles sont les prochaines étapes pour Prestashop, au niveau produit et stratégique ?

Benjamin Teszner: « Au niveau produit, l’accent va surtout être porté sur l’ergonomie et plus précisément sur l’UX design. Concernant l’aspect stratégique, notre développement à l’international va être privilégié. Nous souhaitons coller toujours plus aux spécificités des marchés locaux. L’idée est également de continuer à monétiser notre base utilisateurs à l’international et de reproduire quelques réussites comme en Espagne ou en Italie. Notre expansion ne devrait pas passer par une croissance externe car il est très difficile d’absorber un concurrent lorsque vous êtes un éditeur e-commerce. Toutefois, on ne peut pas exclure des opérations liées à des briques technologiques. Aujourd’hui nous sommes rentables. Une nouvelle augmentation de capital pourrait être envisagée pour aller plus loin et plus vite (ndlr : Prestashop a déjà levé 3 millions d’euros en 2011 auprès de Serena Capital) »

mardi 25 juin 2013

E-commerce : 5 erreurs à ne pas commettre

À force d’être optimistes, certains entrepreneurs en oublient la base du e-commerce. La preuve en cinq phrases.

Encore trop de personnes en France s’imaginent que le e-commerce se résume à du commerce avec un câble Ethernet.

Le secteur a beau grandir (+19% en un an), créer un site de e-commerce devient, année après année, de plus en plus difficile. La faute à ces « satanés » consommateurs, de plus en plus exigeants avec la pratique de l’internet.

1 « Y’a qu’à faire un site, les clients viendront tout seul »
Ça pourrait marcher si vous vous appeliez L’Oréal, Apple, ou toute autre marque de calibre mondial. Et encore, même pas… Avec plus de 117.000 sites de e-commerce en France référencés par la Fevad, il faut se lever tôt pour marquer sa différence.
Et puis, le « y’a qu’à faire un site » suppose que la conception d’un site ne coûte pas si cher que cela. Hum, comment vous dire… Sur le web, « ce qui n’a pas de prix n’a pas de valeur », comme l’explique le livre. Cette information intégrée dans votre esprit commerçant, vous comprendrez que le cahier des charges est essentiel pour atteindre vos objectifs commerciaux.

2 « Le client c’est bon, je sais ce qu’il veut sur le site »
Super. Votre foi en vous-même est magnifique à voir. Mais, en réalité, quel que soit le niveau de votre intelligence, vous n’aurez jamais « la même utilisation que l’internaute, votre client ». Alors oui, vous avez travaillé des mois sur le contenu de votre site, il n’empêche : le client ne pense pas comme vous.

Autrement dit, rendez-vous le plus disponible possible. N’oubliez pas que si le client est pris en charge par un conseiller dans un magasin, sur le Net « vous n’avez que ce que l’internaute peut lire, voir, comprendre ». Aussi est-il important de mettre en place un numéro vert et un service-client performant.

De l’autre côté, vous en avez marre de vous faire agresser ? Au contraire, louez-les. À la différence des insatisfaits passifs, ces internautes appuient là où ça fait mal pour alerter les propriétaires du site. Ignorez-les et vous vous en mangerez les doigts.

3 « Pour les photos, je me débrouillerai, j’ai un bon appareil »
Plus qu’une faute, une blague. Aux apprentis photographes, nous vous rappelons que l’internaute ne dispose que de la photo pour se faire une idée du produit. Alors, évitez la faute de goût qui brise tout le travail accompli.
Même chose pour les textes. Plus qu’un effort de rédaction, c’est sur l’objectif à atteindre qu’il faut se mettre d’accord. Faut-il être vu par le plus grand nombre (SEO) ? Faut-il écrire pour vendre ? Faut-il parler uniquement du produit. « Généralement, la solution se trouve au milieu ».

4 « Pour le paiement en ligne, Paypal suffira… »
Bon OK, la solution est performante, sécurisée, tout ça, tout ça… Mais est-ce une finalité universelle. Déjà, ne serait-ce qu’au niveau de l’image. Pour certains, Paypal ça sert plus à centraliser l’argent pour le cadeau d’anniversaire du copain de la compta. Et puis, la majorité des Français préfère toujours passer par un système de CB. Évitez également de mettre en place la 3D secure. « on parle de 40% d’abandons sur les ventes pour une diminution de 0.5% des fraudes seulement ». Pas si efficace que ça. En revanche, les entrepreneurs devront certainement « signer une décharge à leur banque et souscrire à Fia-Net ».

5 « J’ai une super offre : 1.000 liens pour 20 euros »
Et vous y croyez ! la plupart du temps, il s’agit de sites spécialisés dans le « spamdexing », des techniques pour tromper Google dans la qualité de vos liens. Autant vous dire que les mises à jour de Google Penguin 2.0 ne vous permettent plus ce genre de triche. Pire, le géant de Mountain View va vous punir « façon far-west ».

Cela vaut également pour les « copié-collé » un peu trop abusif que vous « récoltez » sur les autres sites. Et puis, encore une fois, « cela nuit à votre référencement naturel ».

Oui, maintenant dans les métiers du e-commerce : le crime ne paie plus.

mercredi 22 mai 2013

Les seniors tirent la croissance de l'e-commerce


La progression du marché du commerce électronique ralentit. De nouveaux clients, comme les seniors, vont lui permettre d'atteindre 50 milliards d'euros en 2013.

http://www.lefigaro.fr/conso/2013/05/16/05007-20130516ARTFIG00707-les-seniors-tirent-la...
Source : Article signé Anne-Sophie Cathala – Le Figaro Economie – 17/05/2013