vendredi 30 septembre 2011

Le Barcamp 4 de PrestaShop

Le Barcamp 4 de PrestaShop 24 novembre 2011 – 
Espace Tapis Rouge


Salon E-commerce de Paris 2011






 La 4ème édition du Barcamp PrestaShop se tiendra le 24 Novembre 2011 à Paris à l’Espace Tapis Rouge
. Forts de notre précédent succès, nous attendons plus de 1000 participants : Marchands, Agences, Développeurs, Partenaires et toute  la communauté PrestaShop !



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mercredi 28 septembre 2011

Les sites de e-commerce vous proposent des avis, que faut il en penser ?


L’Afnor propose aujourd’hui, l’élaboration d’une règle pour éviter que les avis postés sur certains sites de e-commerce soient fictifs et bernent le lecteur internaute.

Tout le monde a croisé des commentaires laissés par des "internautes" au pieds de fiches produits, à l’instar des cinéphiles qui affirment leurs choix à partir de fiches de synthèses et de commentaires de critiques.

Avant de passer commande sur un site marchand, un internaute sur quatre consulte ces fiches de commentaires. 9 de ces internautes sur 10 pensent que ces fiches sont "utiles" et 3 sur 4 doutent de leur fiabilité. Aujourd’hui, impossible pour l’internaute de savoir d’où vient cette fiche, si elle a caractère sincère ou si simplement, le commerçant c’est assuré une auto-promotion.

L’Afnor se penche sur la manière d’améliorer cette information laissée aux internautes. Une norme pourrait permettre d’identifier la source du message et encadrer règlementairement ces informations postées par les entreprises avant publication.

Pour l’heure, une concertation est engagée entre les acteurs du e-commerce les experts de l’Afnor.

mardi 27 septembre 2011


Le M-commerce, ou commerce par mobile est une des tendance de fond du E-commerce, évidement très soutenue depuis l’apparition des smartphones. Contrairement au Facebook-commerce qui est lui assez peu rémunérateur le M-commerce permet de réellement transformer ses internautes en acheteurs pour peu que l’interface proposée soit adaptée à la navigation mobile.
En 2015 le M-commerce mondial est estimé à 119 milliards de dollars , ça vaut surement le coup d’adapter sa charte graphique pour les mobiles ou de développer son application Iphone je pense.

Quelques chiffres en plus de l’infographie :
  • 2011 : 13 millions de smartphones seront vendus en France
  • 2012 : 80% des mobiles vendus seront des smartphones (monde)
  • 2014 : le nombre de smartphones sera supérieur à celui des PC.

dimanche 25 septembre 2011

Facebook : comment développer le social commerce


Comment évolue le « commerce social » à la française ?

Retour d’une table ronde qui s’est déroulée le 14 septembre sur le Salon E-Commerce à Paris : on a pu mesurer les premiers retours et esquisser les prochaines étapes des marques et des enseignes qui explorent le filon du « social commerce ».

En France : Julien Codorniou considère que les initiatives « Facebookesques » Cinemur.fr (en association avec Orange) et UpConcert.fr sont intéressantes à suivre (annonces des films et des concerts).
« On travaille avec la marque The Kopples pour monter une boutique e-commerce via Facebook », glisse Julien Codorniou.

De son point de vue, Facebook Connect (une identité numérique multi-comptes) permet de « faire exploser le trafic de Facebook vers les sites marchands ».
« L’idée est d’amener avec soi le social graph et de développer des expériences sans passer à travers le fameux formulaire des sites d’e-commerce. »

Autre fonction qui rencontre un certain succès : le déploiement du bouton « I Like » (J’aime).
« Cdiscount en propose un par catégorie de produits, ce qui permet d’avoir une connaissance intime des clients via la plate-forme. »
A l’occasion de la grande convention de Facebook spécial développeurs organisée actuellement à San Francisco, il faut s’attendre à une série importante d’annonces.

Une grande étape sera passée d’ici la fin du mois : Facebook adopte le HTTPS pour des sessions de surf plus sécurisées sur la plate-forme communautaire.

Autre « révolution » de velours déployée dans le courant de l’été : l’exclusivité de la monnaie virtuelle Facebook Credit pour toutes les transactions.
Ce qui risque de créer des tensions avec les autres plates-formes de paiement électronique...

N'hésitez pas à nous demander conseil.

dimanche 18 septembre 2011

PARIS - E-commerce : les réseaux sociaux et le mobile, nouveaux vecteurs d'expansion


PARIS - L'e-commerce, apparu il y a à peine 15 ans, continue sa croissance exponentielle et tente maintenant de tirer parti des usages nés des nouvelles technologies, comme le "social commerce" qui s'appuie sur le succès des réseaux sociaux et le "m-commerce" à partir du portable.
"Deux tendances essentielles" se dessinent pour l'avenir, "les réseaux sociaux, qui ne sont pas un phénomène de mode, mais un phénomène de société", et le m-commerce ou commerce sur téléphone portable, qui explose, a estimé Marc Lolivier, délégué général de la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad), lors du salon e-commerce qui se tient jusqu'à jeudi à Paris.
L'essor du m-commerce est favorisé par l'augmentation du parc de smartphones et bientôt par l'arrivée de la quatrième génération de téléphonie mobile (4G).
"Ce n'est pas juste de l'achat à distance, c'est aussi une passerelle entre les magasins et internet", a-t-il relevé, alors que sept millions de Français ont déjà surfé sur internet en magasin via leur portable.
Le m-commerce, qui permet d'acheter où que l'on se trouve pourvu qu'on ait du réseau, se prête particulièrement aux achats qui doivent se faire à un moment précis, comme les ventes aux enchères ou les ventes événementielles.
Le site de déstockage vente-privee.com, dont les ventes démarrent à 07H00 du matin, réalise déjà 10% de son chiffre d'affaires sur mobile.

samedi 17 septembre 2011

Référencement : bloquer des sites dans Google, désormais possible en France


Google vient d'annoncer le déploiement à l'international de sa fonction de blocage de résultats de site. Pour en bénéficier, il faut visiter un site depuis un résultat Google et revenir ensuite sur la page de résultats, en utilisant le bouton Back de son navigateur. Il s'affiche alors un lien "Bloquer tous les résultats" à côté du bouton "En cache" comme ci-dessous.
blocage de résultat Google
Google affirme qu'il tiendra compte du comportement des utilisateurs pour jouer sur le classement des résultats. Si un site est souvent bloqué, il sera donc moins visible dans les résultats.
Tout comme pour le bouton +1, on peut imaginer cette fonctionnalité soit utilisée à des fins d'e-réputation. Alors que la France entre en période électorale, on peut déjà imaginer des actions concertées des internautes pour faire déclasser tel ou tel site dans les pages de résultats !
Quoiqu'il en soit, cette fonctionnalité n'est pas forcément trés visible, puisqu'il faut impérativement ouvrir un résultat dans la même fenêtre, ce qui évite l'utilisation d'onglet ou de nouvelle fenêtre dans le navigateur (des fonctionnalités bien pratiques quand on veut consulter de nombreux résultats de recherche). Y aura-t'il un jour un bouton -1 ? Est-ce qu'un +1 et un blocage s'annulent mutuellement dans l'algorithme Google ? Voici des questions qui restent sans réponse pour le moment...

jeudi 15 septembre 2011

Pour un meilleur référencement social


Lancé en mars 2011, sur le modèle du « j’aime » de Facebook, le bouton Google +1 est un bon exemple de l’importance du référencement naturel aujourd’hui. Les réseaux sociaux et les différentes plateformes offrent plus que jamais la possibilité aux entreprises de développer leur notoriété et leur visibilité et un moyen supplémentaire de booster le référencement de leur site sur Internet.
Il est donc primordial pour les entreprise de gérer au mieux leur référencement, notamment leur référencement Google , en faisant appel aux professionnels du référencement social comme l'agence bgweb.fr.

mercredi 14 septembre 2011

Prestashop lève 3 millions d'euros pour assurer sa croissance


En direct du salon E-commerce 2011 - Prestashop, éditeur français d'un logiciel de création de sites e-commerce, vient d'annoncer une levée de fonds de 3 millions d'euros auprès de Serena Capital. Il compte l'utiliser pour assurer sa croissance.


3 millions d'euros pour poursuivre sa croissance organique et s'étendre à l'international. Pour Christophe Cremer, le directeur général de Prestashop, ce tour de table réalisé entièrement auprès de Serena Capital est une étape de plus dans la croissance de l'éditeur. « Nous avions déjà réalisé une première levée de fonds de 700 000 euros l'an dernier, auprès de plusieurs business angels, dont je faisais partie. Cette fois, nous allons pouvoir soutenir encore plus notre croissance. »


Prestashop affirme déjà avoir vu son chiffre d'affaires multiplié par trois entre 2010 et 2011, et vise une multiplication par dix dans les cinq prochaines années. Même si aucun objectif daté de rentabilité n'est affiché pour l'instant, Prestashop se dit presque à l'équilibre. Le tout avec un modèle open-source.


« L'enjeu, aujourd'hui, c'est de se faire connaître plus. Nous sommes en ligne avec ce que peut faire une entreprise française. Nous avons une bonne technologie, mais on ne nous connaît pas assez. Il va donc falloir renforcer nos équipes techniques, évidemment, pour continuer de développer nos produits, mais aussi nos équipes marketing. » Le but de Christophe Cremer est clair : évangéliser en Europe, se développer au Royaume-Uni, en Allemagne, et en Espagne, et renforcer la présence aux Etats-Unis, où la filiale connaîtrait déjà un gros succès.

dimanche 11 septembre 2011

4 conseils clés pour associer votre commerce en ligne et vos commerces physiques !


Tirer profit de vos canaux de ventes et développer votre chiffre d’affaires, 4 conseils clés :

1 - Internet reste pour les internautes le royaume des bonnes affaires... Soyez compétitif sur votre boutique en ligne et misez sur le marketing ! Mettez en avant vos nouveautés, offres spéciales, réductions grâce à des slideshows, des encarts publicitaires… et en consultant nos conseils pour une page d’accueil efficace.
2 - Reliez vos canaux de vente : après une commande en ligne, proposez le retrait, l’échange ou le remboursement en magasin : ceci est un vecteur de réassurance incontestable, vos clients sauront où se rendre en cas de besoin !
3 - Organisez des animations online et offline : en boutique, proposez des concours visant à interagir avec vos clients. Et pourquoi ne pas leur proposer des animations mêlant Internet et traditionnel ? Par exemple, un code à retirer en boutique, à rentrer sur votre site Internet pour découvrir son gain… Les possibilités sont infinies !
4 - Proposez des produits en exclusivités sur chacun de vos canaux, exclusivités Internet, exclusivités magasins… cela fidélise vos clients, et les incite à acheter aussi bien en ligne qu’à se déplacer en boutique !

vendredi 9 septembre 2011

Internet : le e-commerce continue de progresser


D'après l'Observatoire des Usages Internet de Médiamétrie, l'achat en ligne continue d'afficher des "progressions exceptionnelles" au 2ème trimestre 2011 en France. En un an, le nombre de cyberacheteurs a augmenté de 15%, soit 4,1 millions de nouveaux adeptes. Aujourd'hui ce sont donc plus de 30 millions d'internautes qui achètent en ligne - plus des trois quart - et plus d'1 personne résidant en France sur 2.

Bertrand Krug, Directeur du Département des mesures d'efficacité online de Médiamétrie//NetRatings souligne que "la fréquence de l'achat en ligne continue sa progression : 43,4% des personnes ont acheté sur internet au cours du dernier mois ; ils étaient 36,6% il y a 1 an".
Marc Lolivier, Délégué Général de la Fevad, se félicite quant à lui "de voir cette percée du e-commerce dans les habitudes de consommation des Français s'accompagner d'une nouvelle progression du baromètre de la confiance, qui enregistre un nouveau record avec plus des deux tiers des internautes confiants dans l'achat en ligne".
Fortement implanté auprès des catégories professionnelles supérieures, des hommes et des 25-49 ans, le e-commerce poursuit sa conquête des seniors : près des 2/3 des internautes de plus de 65 ans se sont convertis à l'achat en ligne - en augmentation de 40% sur 1 an ! En régions, le e-commerce se développe également avec une augmentation de près de 19% en 1 an.

jeudi 8 septembre 2011

Comment animer un site Ecommerce ?


Animer un site E-commerce est une des activités les plus importantes du métier de E-commerçant, cela consomme beaucoup de temps et peut parfois être compliqué si l’on connait mal son marché.

L’animation d’un site E-commerce permet de montrer que votre site est vivant et augmente donc la confiance des internautes.

Imaginez qu’au mois d’octobre vous trouvez un bandeau « Saint Valentin » sur un site E-commerce il y a peu de chance que vous finalisiez votre commande non ? Voici donc les éléments les plus importants pour animer votre site E-commerce.

L’animation de la homepage : votre homepage est sûrement l’endroit le plus visité de votre site, il est donc normal que ce soit le premier emplacement à animer.

Plusieurs solutions s’offrent à vous :

  • Des bannières classiques (tous les formats sont listés ici sur le site de l’IAB)
  • Des blocs de produits de type carrousels
  • Des listings de produits (derniers arrivages, les plus vendus etc…)
  • Un édito au format texte présentant rapidement une news sur un thème d’actualité.
  • Après les solutions sur la forme voici quelques indications de fond pour animer votre homepage :
  • Les évènements de l’année : rentrée des classes, Noël, Saint Valentin, le Nouvel An, l’été etc…
  • Vos évènements : nouveaux produits, nouvelles gammes, refontes graphiques, déménagements etc…
  • Les partenariats avec d’autres sites/ boutiques (on et off-line)
  • L’actu de votre secteur : défilés, salons, innovations
  • Vos besoins : destockages, promotions, mises en avant.

L’animation du catalogue :

L’animation du catalogue est plus simple car généralement moins soumise à la mode et aux saisons. Cependant il est tout à fait possible d’y relayer les offres et promotions en cours sur votre site à l’aide des emplacements cités pour la homepage.
On peut également s’en servir pour cibler plus précisément ses clients et créer des offres d’achats pour pousser à l’acte. En mixant connaissance du client et thème de la page on peut créer une offre temporaire plus ciblée, exemple sur un rayon « pulls » de n’importe quelle boutique en ligne : « Couvrez vous pour la rentrée à prix tout doux ».

Attention contrairement à une idée reçue l’animation commerciale ne passe pas systématiquement par la promotion, c’est même un réel problème si votre seule incitation commerciale est la baisse de prix !
Animer son site E-commerce passe également par un peu de ménage : supprimer les produits obsolètes, mise en avant des nouveautés, nouveaux produits etc…

Animer sa base clients
L’élément crucial dans toute animation commerciale reste de la faire savoir à vos clients. En effet rien ne sert de faire des bannières et de mettre des produits en avant sans en informer vos clients.
Cette animation de base clients passera,dans la majorité des cas, par de l’emailing qui est à ce jour la manière la moins chère et la plus rentable d’informer ses clients (on reviendra sur le sujet de « comment créer sa base d’emails » dans un autre article).

A part l’emailing il existe également le mailing (avec du vrai papier), l’envoi de catalogues produits et l’envoi de sms par exemple mais ces solutions reviennent extrêmement chères en temps et en moyens financiers les premières fois.
L’animation commerciale d’un site E-commerce peut également se faire sur les réseaux sociaux mais là encore peu de sites sont arrivés à construire des stratégies cohérentes et rentables.


Principes généraux de la vente aux consommateurs (BtoC)


Le commerce électronique a pris depuis quelques années son essor dans le domaine de la vente au consommateur, le BtoC.

Dans la mesure où un site permet la vente envers des consommateurs, le droit de la consommation s’applique.

L’application du droit de la consommation a pour conséquence l’application du droit de la vente à distance et cumulativement, du droit du commerce électronique.
Est considérée comme consommateur, toute personne physique qui se procure des biens pour la satisfaction de ses besoins personnels.

L’application du droit de la consommation aura pour conséquence de prévoir des modifications sur les points suivants :

  • La présentation des produits : il sera nécessaire de préciser les caractéristiques essentielles du bien ou du service en question (article L111-1 du code de la consommation), de prévoir un prix TTC, par ailleurs les soldes sont strictement encadrés, tout comme les frais de livraison, ainsi que les modalités de paiement,
  • Vous êtes tenus d’indiquer la date limite à laquelle vous vous engagez à livrer le bien, d’exécuter la prestation de services (code de la consommation article L121-20-3 alinéa 1). La mention d’un délai indicatif n’est pas permise. A défaut d’indication d’une telle date limite, le vendeur est réputé devoir délivrer le bien dès la conclusion du contrat. A défaut, le consommateur peut obtenir la résolution de la vente, conformément à l’article L114-1 du code de la consommation,
  • L’existence d’un droit de rétractation de 7 jours à compter de la réception du produit,
  • La durée de validité de l’offre,

Le stockage et l’utilisation du numéro de carte bancaire est soumis à la délibération de la CNIL n°03-034 du 19/06/2003. Cette délibération considère que le numéro de carte bancaire ne doit pas être stocké au-delà de la durée nécessaire à la réalisation de la transaction et ce stockage est subordonné au recueil du consentement de la personne concernée,
La responsabilité du vendeur, s’agissant d’une vente au travers d’un site de commerce électronique, est engagée de plein droit, sans possibilité pour le vendeur d’avoir de clause limitative de responsabilité,

Après la conclusion du contrat ; le consommateur doit recevoir par écrit, et au plus tard au moment de la livraison, conformément à l’article L129-19 du code de la consommation, toutes les informations relatives au prix, aux caractéristiques du produit, à la responsabilité contractuelle, ainsi que le rappel des conditions d’exercice du droit de rétractation. Ce droit s’exerce sans avoir à justifier de motifs. Lorsque les informations relatives à la confirmation écrite de l’offre n’ont pas été fournies, le délai d’exercice du droit de rétractation est porté à 3 mois. Le consommateur peut exercer son droit de rétractation sans frais, hormis les frais de retour qui peuvent lui être imputés,

En cas d’indisponibilité du produit, le consommateur doit être informé de cette indisponibilité et, le cas échéant, être remboursé sans délai et, au plus tard dans les 30 jours, du paiement des sommes versées.

Les infractions aux dispositions prévues ci-dessus sont sanctionnées pénalement, il s’agit notamment des infractions aux dispositions relatives à l’obligation d’information préalable, à la confirmation écrite de l’offre, à l’obligation de rembourser le consommateur dans un délai de 30 jours lorsque le droit de rétractation est exercé.
Ces infractions sont alors passibles d’une amende contraventionnelle de 1.500€ (code de la consommation article R 51-1 et suivants).
Les personnes morales peuvent être déclarées responsables de l’infraction et sont passibles d’une amende de 7.500€.
Les contrats conclus en violation de cette règlementation sont alors nuls de plein droit.
L’administration peut, dans certains cas, proposer une transaction.

mardi 6 septembre 2011

Tracking Google Analytics des boutons sociaux


Vous avez toujours rêvé de suivre l’impact du trafic suite à l’interaction de vos visiteurs sur vos boutons sociaux Twitter, Facebook et Google+ à l’aide de Google Analytics ? c’est possible. Aucune surprise pour le +1 de Google qui est suivi nativement et ce même jusqu’aux outils Google pour les Webmasters.
La grande nouveauté, depuis le mois de juillet, est que nous pouvons désormais suivre les interactions sociales sur nos boutons Facebook et Twitter. Vous pourrez analysez tout ça uniquement sur la nouvelle version de Google Analytics (Visiteurs > Réseaux sociaux > intérêt et interaction).

A noter qu’il existe déjà un plugin WordPress : Social Media Tracking, en attendant que les développeurs de votre tracking Google Analytics WordPress préférés intègrent le suivi social dans leurs plugins.

Pour toute demande d'information ou pour la mise en place de ce suivi contactez l'équipe BGWeb.

dimanche 4 septembre 2011

[TUTORIEL : Copier un site Prestashop vers un autre hébergement]



Beaucoup de personnes se retrouvent confrontées à des difficultés lorsqu'elles souhaitent copier ou transférer un site Prestashop depuis un emplacement vers un autre.

Cette méthode a pour but de réaliser cette manipulation de manière sereine.

Référencement : Google déclassifie les sous-domaines


Google vient d'annoncer qu'il déclassifie les liens des sous-domaines au sein d'un même site internet. Quel impact cette annonce peut-elle avoir sur le référencement web sur Google ? 


Référencement Google et sous-domaineJusqu'à ce jour, Google a toujours considéré tout sous-domaine comme un site à part entière. Ainsi, vous pouviez avoir un seul nom de domaine et créer plusieurs sous-domaines qui sont autant de sites distincts les uns des autres. 

Et, si vous ajoutez une adresse IP dédiée à chacun de ces sous-domaines, c'est top ! Parce que très bon pour le référencement naturel de votre domaine principal.


En cause, l'abus de backlinks ?

Il faut mentionner que cette décision de Google concerne aussi tout nom de domaine avec ou sans-WWW. Donc, à ce niveau, il n' y aura plus de problème de contenus dupliqués puisqu'il n'y a plus de différence avec ou sans-WWW. Ainsi, dorénavant, votre site www.monsite.com et monsite.com sont un seul même site pour Google.

Avant ce changement de considération, les liens entre sous-domaines et la racine du site étaient considérés comme des backlinks (liens entrants) pour la partie qui les recevaient. Et, beaucoup de sites majeurs, de bonne notoriété, ont construit une partie de leur stratégie de référencement sur ce système des backlinks.

Or, les backlinks sont, encore pour quelque temps, le critère primordial pour un bon classement sur Google. Ainsi, ces sites aux multiples sous-domaines étaient bien classés avec 2 ou 3 liens en même temps en raison de nombreux backlinks savamment distribués.

Ils faussaient ainsi le référencement naturel sur Google. Par conséquent, cette initiative de Google est somme toute logique. Votre propre site sur un seul nom de domaine ne peut pas vous renvoyer de liens entrants (backlinks) pour doper votre référencement.

Google Panda est-il passé par là ?

Maintenant, Google considère comme liens internes tous les liens à l'intérieur d'un même nom de domaine qui vous appartient. Même si le lien vient d'un sous-domaine de votre site vers un autre sous-domaine, c'est un lien interne. C'est le nom de domaine qui compte. Et cela va énormément changer les choses.

Il aura fallu Google Panda qui a impacté le référencement de nombreux sites pour que Google comprenne certaines choses.

En effet, au lancement de Google Panda en France le 12 août dernier, certains sites web connus et très fréquentés ont échappé à la pénalité Panda alors qu'au moins un de leurs sous-domaines a été dé-référencé drastiquement. Et pourtant, leur nom de domaine tout en entier aurait dû subir la pénalité Panda comme prévue. Mais, ces sites (noms de domaine) ont été protégés par leur système de sous-domaines.

C'est sûr, au prochain lancement de Google Panda, ces sites dont certains sous-domaines ont été pénalisés passeront à la trappe si rien n'est fait. La frontière étanche entre les sous-domaines étant devenues superficielles.

Finalement, cette annonce de déclassification de sous-domaines est un vrai coup de pied dans la stratégie de référencement de certains sites web et même de certains référenceurs qui en avaient fait une technique de netlinking.

On peut, à ce stade, se demander aussi si les backlinks en provenance de plateformes d'hébergement gratuit de blogs (wordpress, blogspot, etc...) ne vont pas être dévalués...

Contactez l'équipe BGWEB en cas de questions ou pour tout conseil lié à vos domaines.

samedi 3 septembre 2011

E-commerce : un développement rapide mais inégal en Europe


Le nombre d'Européens qui font des achats sur internet a doublé en cinq ans, pour s'établir à 40 % de la population. Néanmoins, cette croissance est due à un nombre restreint de pays et les consommateurs du Sud et de l'Est de l'Europe sont moins enclins à acheter sur le web. Les députés de la commission parlementaire du marché intérieur et des droits des consommateurs ont pris connaissance d'une étude sur le sujet mardi matin. Résumé des grandes tendances.

Pays francophones : 

  • France : 73 % des ménages ont internet et 57 % achètent en ligne
  • Belgique : 72 % des ménages ont internet et 38 % achètent en ligne
  • Luxembourg : 89 % des ménages ont internet et 60 % achètent en ligne


Le e-commerce se développe mais sa croissance diverge fortement d'un Etat à l'autre.
Au Danemark, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas ou en Suède, plus de 65 % des consommateurs achètent en ligne. La France et le Luxembourg se trouvent également dans le peloton de tête avec plus de la moitié des consommateurs.
La Belgique se situe juste sous la moyenne européenne avec un peu moins de 40 %.

En queue de peloton, on trouve la Roumanie et la Bulgarie avec moins de 10 %, et à peine plus en Lituanie, Grèce, Italie ou encore Portugal.

De telles disparités peuvent en partie être expliquées par les différences de taux de pénétration d'internet. Soixante-dix pour cent des ménages européens ont accès à la toile, mais ce chiffre se trouve dans une fourchette comprise entre 33 % et 91 % en fonction des pays. La taille du pays et sa culture façonnent également les habitudes des consommateurs.

Quelques caractéristiques du e-commerce européen : 

  • Les trois quarts des achats se font sur le marché domestique, à savoir chez un vendeur situé dans le même Etat membre que l'acheteur.
  • Seulement 14 % des entreprises européennes vendent des biens ou des services sur internet, un chiffre relativement stable depuis cinq ans.
  • Les consommateurs achètent principalement des vêtements et des biens et services liés au voyage. De façon paradoxale, les ordinateurs et autres équipement électroniques sont parmi les moins susceptibles d'être achetés en ligne.
  • Le e-commerce permet de diminuer les coûts de distribution pour les vendeurs, de même que les coûts environnementaux. Par ailleurs, il facilite la circulation de contenus illégaux.
  • L'Union européenne réglemente déjà le e-commerce dans ses frontières mais les normes prônées ne sont pas toujours respectées lors d'achats en dehors de l'UE.
  • L'étude prône l'amélioration de la législation européenne pour mieux lutter contre le commerce illégal.

Programmez, numéro spécial E-commerce de A à Z

Pour nous, développeurs, geeks et autres « accros » à la technologie, le web est notre quotidien depuis 16 ans. Nous passions nos soirées dans la salle informatique de la Sorbonne pour accéder au réseau mondial avant d’avoir une connexion personnelle quelques mois plus tard ! Toute une époque.

Depuis, le commerce en ligne, les boutiques en ligne pullulent. Mais un constat peut étonner : en France, presque 50 % des petites entreprises n’ont pas de site internet, pour diverses raisons. Le web n’est pas non plus une formule magique pour avoir plus de clients ! Mais il peut y contribuer… Ensuite, mettre en place une boutique en ligne, et ce que l’on appelle le e-commerce, arrive un cran au-dessus du « simple » site web.

Le e-commerce doit répondre à une stratégie définie. Celle-ci doit se traduire concrètement sur le site web et tous les services de l’entreprise doivent être capables de répondre à ce nouveau canal de distribution : logistique, gestion des stocks, suivi des commandes, expédition, retrait en magasin, support client. Car audelà des aspects projet et technique, il faut repenser l’organisation, les processus internes.
Il doit y avoir une réflexion d’ensemble à mener avant tout lancement du projet e-commerce. La moindre improvisation signifierait un échec.
Nous avons souvent abordé à Programmez ! le développement web, mais finalement, assez peu le commerce en ligne, la monétisation d’un site. Dans ce dossier, nous allons voir comment utiliser les API PayPal, mettre en oeuvre les services Drupal dans une logique de commerce en ligne, et les bonnes pratiques pour monter un e-commerce.

http://www.programmez.com/magazine_articles.php?titre=E-commerce-de-A-a-Z&id_article=1571&magazine=144